Un tribunal zimbabwéen a ordonné mercredi une mise en liberté sous caution de l’opposant Jacob Ngarivhume, arrêté le 20 juillet pour « incitation à la violence publique » et dont trois demandes de remise en liberté avaient depuis été refusées, a-t-on appris auprès du tribunal.

Un magistrat de la Haute cour de Harare a accepté l’appel de l’opposant en jugeant que le rejet de sa demande par le tribunal d’instance relevait d’une « erreur judiciaire ». Il a été libéré contre une caution de 50.000 dollars zimbabwéens (600 US dollars) et doit remettre son passeport à la justice.